Premières 24 Heures en Championnat du Monde pour Arnold Robin

A quelques jours du top départ des 24 Heures, nous avons interrogé le Sarthois soutenu par le Conseil départemental, sur son état d'esprit et ses objectifs.

Alors qu'il faisait équipe avec son frère Maxime (et Valentin Hasse-Clot) aux précédentes 24 Heures du Mans, le pilote catégorie Bronze Arnold Robin a saisi l'opportunité cette saison de concourir pour le WEC Championnat du Monde d'endurance automobile, avec l’écurie Akkodis ASP Team en LMGT3

Il sera l'un des deux seuls Sarthois de la course des 24 Heures à s'élancer samedi pour le double tour d'horloge, comptant comme 4e manche du WEC, au volant de la Lexus RC F LMGT3 n°78. 

Après plusieurs courses en compagnie de ses nouveaux coéquipiers et avant les premières phases de tests, il nous a livré ses impressions pour sa 3e participation à la mythique course.

Le Département, qui le soutient dans cette aventure, lui souhaite le meilleur pour la course à venir ! 

L'interview vidéo

Tu as intégré une nouvelle équipe cette année. Est-ce que tu as préparé différemment ces 24 Heures avec eux ?

Cette année avec mes coéquipiers, on se découvre. Avant je roulais avec mon frère, on se connaissait par cœur. Avec Kelvin et Timur, il nous a fallu construire un esprit d'équipe, c'est là-dessus peut-être que nous avons le plus mis l'accent. Et la cohésion peut faire toute la différence sur une course telle que les 24 heures ! Même si un pilote est moins rapide, si les deux autres ont une confiance totale, ça permet de donner le meilleur de soi. 

Avec nos mécaniciens, nos ingénieurs nous avons une confiance aveugle également. C'est pas bon d'avoir des doutes pendant la course ! 

Pour le circuit des 24 Heures, il y a t'il quelque chose sur lequel tu as travaillé spécifiquement ? 

Des milliers de trucs ! Le réglage de la voiture est un point crucial, surtout que je roule avec 2 jeunes pilotes...qui veulent aller très vite ! Mais nous devons aussi prendre en compte la dégradation de la voiture au bout de X heures de course. Ne pas avoir une voiture trop "pointue" au départ permet d'assurer un certain "confort" de conduite en fin de course, à partir du dimanche matin quand c'est le plus dur et sécuriser l'arrivée. 

Une anecdote ?

Lors de sa toute première édition, le départ s'est fait sous la pluie alors qu'il assurait le tout premier relais....et qu'on annonçait beau temps ! Un vrai baptême du feu pour Arnold qui n'avait jamais encore testé le circuit en conditions réelles. Préférant jouer la sécurité, il ne fit pas son meilleur temps mais ramena la voiture intacte au stand ! 

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