La nouvelle exposition proposée à l’Abbaye Royale de l’Épau pour ces fêtes de fin d’année mêle 3 points forts du lieu – la nature, la musique et l’art – à travers un bestiaire utopique qui ne vous laissera pas indifférent !
Après avoir fait découvrir aux Sarthoises et aux Sarthois toutes les richesses des églises du territoire, le Conseil départemental propose, pour ces fêtes de fin d’année, un voyage à la fois naturaliste et artistique ! Un lucane cerf-volant et une sauterelle conçus à partir de pianos, un phasme né de 44 instruments : ce sont en tout 12 œuvres utopiques, 12 créations entre entomologie et musicologie qui sont installées dans l’abbatiale pour quelques mois.
Imaginé par le collectif « Tout reste à faire », composé de Vincent Gadras, Mathieu Desailly et David Chalmain, magnifié par la scénographie d’Olivier Clausse, « Anima (Ex)Musica » est une expérimentation de la remarque de Charles Darwin : « S’il était possible d’imaginer un insecte qui aurait la taille d’un cheval ou d’un chien, il deviendrait l’un des animaux les plus impressionnants de la planète. »
« C’EST UN VOYAGE ONIRIQUE ET SENSORIEL »
Cette exposition se distingue à travers les 3 disciplines qu’elle valorise. Les arts plastiques : sous le regard du visiteur, l’insecte devient instrument et vice-versa ; la biologie : ces installations créées avec des entomologistes participent à l’éveil scientifique des plus jeunes ; la musique : une mélodie reprend les instruments utilisés pour la conception de chaque animal.
« C’est un voyage onirique et sensoriel », résument Dominique Le Mèner, Président du Conseil départemental, et Véronique Rivron, présidente de Sarthe Culture. « Cette exposition encourage le public à s’interroger sur la vie des insectes et leur beauté souvent méconnues ! »
Temps fort de la prochaine édition de Le Mans Sonore (du 22 au 30 janvier), ce bestiaire est à découvrir dès maintenant, en même temps que le voyage lumineux et sonore de l’Abbaye Royale de l’Épau !