Ce chapiteau de 400 places contribuera à la labellisation de la Cité du cirque du Mans, en Pôle national du cirque. Le Département le finance à hauteur de 250 000 €, dans le cadre du plan de relance.
Un chapiteau de cirque étant traditionnellement maintenu par des pinces (grands pieux en acier), c’est une première pince – et non une première pierre – qui a lancé le chantier du chapiteau permanent de la cité du cirque, vendredi 16 octobre, au Mans.
Proposer du cirque 365 jours par an, accueillir des résidences d’artistes, offrir à l’école de cirque un site d’exception : voilà l’ambition de la Ville du Mans avec son chapiteau permanent. Doté d’une piste circulaire, de gradins de 400 places, d’une loge, d’une billetterie, d’un bar ou encore de locaux techniques, ce chapiteau remodèlera les abords de la Cité du cirque avec sa toile tendue et multicolore !
UNE AIDE MAJEURE DU DÉPARTEMENT
Surtout, avec cet équipement, la Ville du Mans ambitionne de se faire labelliser Pôle national du cirque. Le budget dévolu à cet outil respectueux de l’environnement (géothermie, raccordement au réseau de chaleur, etc.) s’élève à 2,17 M€. Le Département participe à hauteur de 250 000 €, via la convention signée avec la Ville du Mans, dans le cadre du plan départemental de relance.
Le chantier a été lancé ce vendredi 16 octobre en présence de Véronique Rivron, présidente de la commission Attractivité du Département : Culture, Sport, Tourisme, Enseignement supérieur ; Jacqueline Pedoya, conseillère départementale du canton ; Christophe Counil, conseiller départemental ; Stéphane Le Foll, maire du Mans ; Patrick Dallennes, Préfet, Marietta Karamanli, députée, et Vanessa Charbonneau, vice-présidente du Conseil régional.
« C’est un projet formidable autant pour le Département que pour la ville et pour les habitants du quartier », se félicite Véronique Rivron. « Il y aura du cirque, mais pas seulement. Dans la période actuelle, il y a besoin de lieux pour faire naître le spectacle vivant en regardant l’avenir. La culture nous permettra de passer ces moments difficiles. C’est un enjeu de territoire, c’est pour cela que nous avons choisi ce projet dans le cadre du plan de relance. »